Le Parc National De Hoge Veluwe

La Fondation Du Parc National De Hoge Veluwe se dote de nouvelles armoires pour DAE

Chaque année, le parc national De Hoge Veluwe accueille des centaines de millions de personnes. Afin d'assurer la sécurité de tous ces visiteurs, tous les bâtiments importants du parc sont équipés d'un appareil fourni par AED-Partner. L'ensemble des surveillants disposent également de dispositifs dans leur véhicule. Un numéro spécial est à disposition pour les mobiliser au besoin. Récemment, la fondation du parc national a développé ce réseau de défibrillateurs. Gerard van Voorst, directeur financier et responsable en chef de l'assistance en entreprise du parc, nous en dit plus :

«Nous accordons une attention toute particulière à la sécurité de nos visiteurs. Nous souhaitons vivement que chaque endroit pouvant accueillir du public soit équipé d'un DAE. Un véritable défi pour un parc de 5 400 hectares. À titre de comparaison : cela correspond à la taille de 11 000 terrains de football ! Nous avons donc placé 6 appareils supplémentaires dans les installations extérieures.»

Un défi en plein air

AED-Partner a indiqué les modèles les plus appropriés à la fondation. Un bureau d'ingénieurs s'est également penché sur la question de l'emplacement précis de ces défibrillateurs. Après concertation, il a été décidé d'en mettre dans les espaces intérieurs aux trois entrées du parc. Les trois autres DAE ont été placés en extérieur, à proximité des trois loges. Ce fut une autre paire de manches. En effet, en raison de l'inclinaison des murs extérieurs et du volume monumental des loges, un montage extérieur n'était pas possible. Il fallait aussi raccorder les appareils à une alimentation électrique fixe (230V). Après étude et concertation, il a été décidé d'installer les DAE sur une colonne robuste (avec socle de béton).

La fondation est ravie de ce développement. Le directeur financier poursuit : «Les appareils supplémentaires sont facilement accessibles et contribuent à la sécurité de nos visiteurs. Par le passé, nous n'avons fort heureusement dû nous en servir qu'à de rares reprises. Espérons que ça reste ainsi !»